La nouvelle école Félix-Antoine-Savard, désormais nommée l’école des Eaux-Vives, sera l’une des premières écoles de ce type au Québec. Unique en son genre et composée de 27 classes, cette école permettra aux enfants d’évoluer et d’apprendre dans les meilleures conditions, mettant en avant une vision novatrice de l’éducation.

institutionnelle

Conçue avec une vision progressiste et orientée vers l’avenir de l’éducation, l’école des eaux-vives se distingue par des salles de classe spacieuses, offrant une fois et demie plus de superficie que les salles typiques, et des installations tels qu’une agora et une salle de motricité. L’intégration du gymnase existant dans la nouvelle construction reflète une approche holistique du design.

Le Projet

Au-delà de son architecture, cette école favorisera l’augmentation du sentiment d’appartenance et la motivation des élèves, en répondant à leurs besoins pédagogiques et de socialisation. La collaboration entre les infrastructures municipales et scolaires, liée à l’agrandissement du centre hospitalier, bénéficiera aux élèves et à la communauté de La Malbaie. Ce projet, riche en partenariats et symbole de mobilisation communautaire, illustre une nouvelle voie pour l’avenir de l’éducation au Québec.

Géothermie

Une des caractéristiques remarquables de cette école est la présence d’une salle mécanique de géothermie à la fine pointe de la technologie. Cette installation permet une gestion optimale de la climatisation, du chauffage et de la ventilation dans toute l’école. Grâce à la géothermie, nous assurons un environnement intérieur confortable et sain pour les élèves et le personnel, tout en étant extrêmement efficaces sur le plan énergétique. Cette approche écoénergétique non seulement réduit les coûts de fonctionnement de l’école, mais contribue également à minimiser l’impact environnemental.

Collaboration

Les secteurs collaboratifs dans les écoles primaires, situés à côté ou entre les classes, jouent un rôle clé dans l’enrichissement de l’expérience éducative. Ils favorisent l’apprentissage coopératif en permettant aux élèves de travailler ensemble sur des projets, développant ainsi leurs compétences en communication, résolution de problèmes, et travail d’équipe. Ces espaces offrent aux enseignants plus de flexibilité dans leurs méthodes d’enseignement, permettant des activités de groupe ou des ateliers qui ne seraient pas possibles dans une salle de classe traditionnelle. En somme, ces secteurs collaboratifs ne sont pas simplement des espaces supplémentaires, mais des lieux stratégiques qui facilitent un apprentissage plus dynamique, interactif et personnalisé pour les élèves du primaire.